Conceptual Confusion: Identifying the Optimal Conceptualization of Resilience for Higher Education Students
Résumé
A rapidly burgeoning evidence base shows that low levels of resilience compromise higher education students’ well-being and academic success. Resilience programs can be an effective means of helping students adapt to the personal and academic stressors they may encounter. However, the development of such programs is hindered by inconsistent conceptualizations of resilience in the fields of psychology and education. To effectively support higher education students in strengthening their resilience, it is crucial to first clearly describe the construct in the literature, as its conceptualization lays the foundation for the development of ensuing resilience programs. This begs the question: Which conceptualization of resilience is most conducive to developing resilience programs within the context of higher education? The purpose of this paper is to discuss the diverse conceptualizations of resilience and identify the most appropriate one to underpin resilience programs in higher education. A review of the theoretical literature on resilience was conducted to achieve these two objectives. Upon examining trait, process, and outcome approaches to conceptualizing resilience, the process-oriented conceptualization is argued to be the most suitable for developing resilience programs in higher education. The adoption of a biopsychosocial approach to target the various factors that facilitate this resilience process is warranted to promote advancements in practice. In addition to having practical implications for professors, support staff, and policymakers involved in student well-being promotion efforts, these findings may help inform future resilience inquiries in psychology and education.Téléchargements
Publié-e
2024-12-23
Numéro
Rubrique
Position Paper/Essai
Licence
- Les manuscrits soumis à la CJNSE/RCJCÉ doivent être originaux et inédits. Ils ne doivent pas avoir été ou être soumis pour publication dans d’autres revues, actes ou livres au Canada ou ailleurs. L’auteur doit confirmer ce fait dans la lettre qui accompagne la soumission du texte (voir plus loin).
- Les articles publiés dans la CJNSE/RCJCÉ ne doivent pas être publiés ailleurs, en partie ou intégralement, pour une période d’un an suite à la date de publication.
- Tout en demeurant titulaire des droits d’auteur, l’auteur(e) concède à la CJNSE/RCJCÉ le droit de première publication de l’article. En acceptant d’avoir son manuscrit publié dans la CJNSE/RCJCÉ, l’auteur accepte que l’accès à son article et l’utilisation de ce dernier soient gratuits, avec citation, dans les établissements d’enseignement à but non lucratif. L’auteur doit préciser explicitement dans la lettre accompagnant la soumission du manuscrit qu’elle ou il concède à la CJNSE/RCJCÉ les droits de première publication.
- Si le manuscrit contient du matériel externe sujet à des droits d’auteur(s), l’auteur doit s’assurer au moment de la soumission que les droits d’auteur(s) sont respectés, notamment quant aux références à des extraits qu’elle ou il emprunte à d’autres auteurs et aux autorisations requises pour leur reproduction dans le manuscrit. Le cas échéant, l’auteur doit préciser à même la lettre qui accompagne la soumission : 1) les éléments qui feront l’objet d’une autorisation; et 2) la date anticipée où cette dernière sera acheminée à la rédactrice en chef.
- Tous les auteurs de manuscrits qui traitent de recherches avec des êtres humains doivent préciser l’organisme qui a décerné l’approbation déontologique et, s’il y a lieu, le numéro de protocole.
- La CJNSE/RCJCÉ encourage fortement l’utilisation de terminologie inclusive, faisant preuve de compétence interculturelle.