Les écoles publiques alternatives sont-elles les héritières de l'éducation nouvelle au Québec?
Mots-clés :
École alternative, Éducation nouvelleRésumé
La compréhension du mouvement alternatif au Québec nécessite de le situer dans l’ensemble des mouvements qui ont proposé des alternatives scolaires. À cet égard, plusieurs pédagogues, penseurs[1] et praticiens ont critiqué sévèrement le système scolaire mis en place, et en tête de ces mouvements se trouve le mouvement de l’Éducation nouvelle, un mouvement vaste qui a animé des réflexions éducatives et incité à des changements dans la perception de l’éducation, de l’école, du rôle de l’élève, de l’enseignant et des parents. Dans la présente réflexion, nous examinons le mouvement alternatif au Québec, notamment sa naissance et le lien avec l’Éducation Nouvelle. Pour ce faire, nous présentons en premier lieu le contexte de naissance de ce type d’écoles au Québec. Dans la deuxième partie nous mettons l’accent sur les idées éducatives héritées de l’Éducation nouvelle, et ce, en prenant appui sur les maintes documentations du RÉPAQ et sur les auteurs pionniers de l’Éducation nouvelle. La troisième partie expose les particularités remarquables des écoles publiques alternatives québécoises et nous concluons par une synthèse répondant à notre question de départ si les écoles publiques alternatives sont –elles les héritières de l’Éducation nouvelle au Québec?
Téléchargements
Fichiers supplémentaires
Publié-e
Numéro
Rubrique
Licence
- Les manuscrits soumis à la CJNSE/RCJCÉ doivent être originaux et inédits. Ils ne doivent pas avoir été ou être soumis pour publication dans d’autres revues, actes ou livres au Canada ou ailleurs. L’auteur doit confirmer ce fait dans la lettre qui accompagne la soumission du texte (voir plus loin).
- Les articles publiés dans la CJNSE/RCJCÉ ne doivent pas être publiés ailleurs, en partie ou intégralement, pour une période d’un an suite à la date de publication.
- Tout en demeurant titulaire des droits d’auteur, l’auteur(e) concède à la CJNSE/RCJCÉ le droit de première publication de l’article. En acceptant d’avoir son manuscrit publié dans la CJNSE/RCJCÉ, l’auteur accepte que l’accès à son article et l’utilisation de ce dernier soient gratuits, avec citation, dans les établissements d’enseignement à but non lucratif. L’auteur doit préciser explicitement dans la lettre accompagnant la soumission du manuscrit qu’elle ou il concède à la CJNSE/RCJCÉ les droits de première publication.
- Si le manuscrit contient du matériel externe sujet à des droits d’auteur(s), l’auteur doit s’assurer au moment de la soumission que les droits d’auteur(s) sont respectés, notamment quant aux références à des extraits qu’elle ou il emprunte à d’autres auteurs et aux autorisations requises pour leur reproduction dans le manuscrit. Le cas échéant, l’auteur doit préciser à même la lettre qui accompagne la soumission : 1) les éléments qui feront l’objet d’une autorisation; et 2) la date anticipée où cette dernière sera acheminée à la rédactrice en chef.
- Tous les auteurs de manuscrits qui traitent de recherches avec des êtres humains doivent préciser l’organisme qui a décerné l’approbation déontologique et, s’il y a lieu, le numéro de protocole.
- La CJNSE/RCJCÉ encourage fortement l’utilisation de terminologie inclusive, faisant preuve de compétence interculturelle.