Comparing Maps of Mean Monthly Surface Temperature and Precipitation for Alaska and Adjacent Areas of Canada Produced by Two Different Methods

Auteurs-es

  • James J. Simpson
  • Gary L. Hufford
  • Christopher Daly
  • Jared S. Berg
  • Michael D. Fleming

DOI :

https://doi.org/10.14430/arctic407

Mots-clés :

hydrologie arctique, température de l’air en surface, précipitations, Arctique, climogrammes, forêt boréale, forêt pluviale côtière, Alaska

Résumé

On a analysé des cartes représentant les moyennes mensuelles des précipitations et des températures de l’air en surface pour l’Alaska et les zones contiguës du Canada. Ces cartes avaient été établies par le service d’analyse du climat spatial (SCAS) de l’université de l’Oregon et le centre d’échange de données géospatiales de l’Alaska (AGDC). Vu qu’en général le public peut se procurer les deux ensembles de cartes et qu’il les utilise, il est nécessaire de documenter les différences entre les processus et les jeux de données d’entrée utilisés par les deux groupes pour créer leur propre ensemble de cartes, ainsi que de dégager les similarités et les différences entre les deux ensembles de cartes et les raisons possibles de ces différences. Ces dernières n’affectent pas les schémas de variabilité saisonnière et annuelle observés à grande échelle. L’Alaska est divisé en zones intérieures et zones côtières, possédant une variabilité constante mais différente, séparées par une région de transition. Celle-ci possède une grande variabilité interannuelle mais une faible variabilité à long terme de la moyenne. Les deux jeux de données sont compatibles avec les quatre grands écosystèmes et leurs zones de transition que nous avions identifiés dans nos travaux antérieurs. Il y a cependant des différences à l’échelle régionale entre les deux ensembles de cartes; elles témoignent de différences dans les domaines physiographiques et dans le traitement que font les deux groupes (AGDC et SCAS) de ces domaines. Ces différences offrent également une piste pour l’établissement d’un réseau d’observation amélioré pour l’Alaska. En nous basant sur une validation fondée sur des données indépendantes recueillies in situ, nous concluons que le jeu de données produit par SCAS représente actuellement la meilleure couverture spatiale disponible pour les moyennes mensuelles à long terme des précipitations et des températures de l’air en surface en Alaska.

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Publié-e

2010-01-27

Numéro

Rubrique

Articles